Avec la pandémie, les sans -abris sont plus nombreux, plusieurs personnes ayant  perdu leur travail.  Nous en voyons même à Rosemère, des gens qui dorment dehors une bonne partie de l’année. Nous en avons vu récemment près du centre d’achats dormir dans un bosquet.

L’itinérance parfois invisible, mais bien réelle ! La Nuit des sans-abri est un événement de sensibilisation à la situation de pauvreté, de désaffiliation sociale et d’itinérance qui confronte de plus en plus de Québécois. Cette année, la pandémie empêche la possibilité de se rassemblé dans la grande majorité des villes au Québec. Tout de même, des citoyens et des citoyennes dans plus de 40 villes au Québec font des actions de sensibilisation auprès de la population afin de faire réfléchir sur la réalité de l’itinérance.

La Nuit des sans-abri est un événement de sensibilisation à la situation de pauvreté, de désaffiliation sociale et d’itinérance qui confronte de plus en plus de Québécois.Depuis 1989, à chaque automne, des jeunes et des moins jeunes passent la nuit dans la rue, en signe de solidarité, et par souci de démontrer concrètement les conditions précaires, souvent intenables de plusieurs personnes, qui doivent s’y confronter au quotidien. Depuis 1997, cet événement se tient simultanément, devant plusieurs Auberges du Cœur, et depuis 2000 devant plusieurs organismes œuvrant auprès des personnes itinérantes.  Tous ces organismes communautaires souvent appuyés par le réseau public organisent sur le seuil de leur ressource, dans un parc, un stationnement, une vigile d’une nuit, ponctuée d’animations de toutes sortes. Élémentaire avec la pandémie faut faire attention avec certains événements.

Ainsi, tous prendront  la rue pour dénoncer la pauvreté des jeunes et moins jeunes et inviter la communauté à manifester sa solidarité envers les personnes en situation d’itinérance. Souhaitons que Dame Nature soit de leur bord.  https://www.facebook.com/nuitdessansabri/