"Trouver le bonheur, la force intérieure et la spiritualité"

L’amour à 50 ans, mais à quel prix

amour

Nous éprouvons tous le besoin d’être aimé, l’amour est notre nourriture essentielle. Pour être aimé, recevoir de l’attention, de la tendresse nous sommes prêts à « faire » beaucoup, bien qu’à 50 ans, nous avons moins le goût de faire autant de compromis

Toutefois, le problème c’est que la recherche du bonheur et de l’amour est axée en général sur l’extérieur. Si nous répondons aux exigences sociales, familiales, aux besoins de « paraître » dans la norme etc. cela demande cependant une énergie considérable. D’autant plus que toutes les actions que nous posons pour satisfaire ces demandes sont le plus souvent non pas un choix de notre cœur, mais plutôt de notre personnalité, de notre ego qui nous font croire à l’illusion qu’ « avoir » et « être conforme » à un profil social, c’est ça le chemin du bonheur.

Des manières d’être pour répondre aux besoins de l’ego
Alors que très jeune notre ego nous informe de ceci, nous enclenchons vite un système de pensées et une manière d’être pour répondre aux besoins de notre ego, croyant ainsi être aimé… Et voilà que ce jeu de l’amour nous piège. Nous centrant de plus en plus sur la recherche du bonheur en dehors à travers les biens matériels, l’exercice du pouvoir, l’argent, la beauté physique et j’en passe ; nous nous coupons graduellement de nous-mêmes, des choix de notre âme et de ce que nous sommes venus faire sur terre.

Nous vivons dans une société de consommation qui a vite détecté le jeu de l’ego et qui pour dominer l’humain, ne cesse de créer des besoins illusoires, de faux besoins, afin que pendant que l’individu est occupé à travailler pour subvenir à cette masse croissante de besoins extérieurs, il ne lui reste aucun temps libre pour aller contacter à l’intérieur de lui Sa vérité. Il demeure soumis, à son insu, au pouvoir grandissant d’une société qui exerce son « pouvoir » par un contrôle subtil de l’individu étourdi et de plus en plus prisonnier d’un système, mais surtout de lui-même.

Le pouvoir ne passe pas par l’argent
Mais voilà, quelle est la définition du pouvoir? Pour ma part, je pensais jusqu’à il n’y a pas longtemps que le « pouvoir » appartenait à celui qui est le plus fort, le plus riche, le plus travaillant, le plus intelligent… et que la réussite de sa vie passait par l’utilisation de cette forme de pouvoir afin d’arriver à atteindre ses idéaux. Cette définition ne correspondant pas du tout à celle du vrai pouvoir, mais encore là, correspondant plutôt à une idéologie (c’est-à-dire une forme de pensée collective) créée par la société pour dominer la puissance intérieure de l’humain.

Si nous arrivions tous chacun à notre tour, à reprendre contact avec ce qu’est le vrai pouvoir, il y a de fortes chances que la société, telle que nous la connaissons présentement, prendrait un virage autre basé sur l’amour dans un sens large, car les valeurs et les croyances personnelles et collectives peu à peu se transformeraient au profit du mieux-être personnel de chaque individu la composant.

L’aspect financier par exemple, qui est l’un des facteurs majeurs du contrôle social, se verrait passer graduellement à un rang inférieur en importance, car l’individu, exerçant son vrai pouvoir, prioriserait davantage les valeurs humaines et spirituelles. En effet, les dirigeants auraient peu à peu à s’ajuster aux valeurs nouvelles d’amour et à la masse croissante des gens qui ne consommeraient plus assez de biens et de services « inutiles » actuellement prônés.

La frappe des médias est puissante et contrôle la pensée collective
L’avantage pour les gouvernements et régimes sociaux, c’est de faire taire « la voix intérieure » de chaque personne et au contraire, de la remplacer par un tapage publicitaire ou autre. Pour arriver à leur but, les dirigeants utilisent des outils tels les médias qui souvent traduisent de façon erronée tout ce qui touche à la spiritualité et à l’éveil de la conscience (c’est-à-dire à tout ce qui pourrait amener un individu à découvrir l’essentiel qui est en lui et la puissance qui l’habite). En ridiculisant, en niant ou en interprétant de façon biaisée les propos et/ou expériences spirituelles d’une personne à travers son quotidien, cela donne un impact sur la collectivité. La frappe des médias est malheureusement très puissante, donc elle contrôle la pensée collective.

De plus, en entretenant des propos négatifs et en les véhiculant quotidiennement dans les journaux, sur les ondes… cela stimule l’aspect « ombre » de l’humain qui est de façon naturelle plus porté à voir le négatif que le positif. Avez-vous déjà pensé que si les journaux de façon journalière ne racontaient que des événements heureux, parlaient d’amour, il y aurait peu de lecteurs, peu d’argent alors collecté en impôts, venant de ces compagnies publicitaires? Donc, le négatif nourrit et stimule le négatif chez l’humain, crée la critique, divise l’opinion publique et permet ainsi un exercice du « pouvoir » plus grand par les parties dirigeantes.

Entretenir certains mythes et croyances est donc avantageux pour un gouvernement qui lui-même se berce de ses illusions, car chaque personnage politique est avant tout un être spirituel qui a la même mission d’apprendre à s’aimer, qui mourra un jour et aura aussi à répondre aux mêmes questions, à savoir s’il a réussi sa mission sur terre, non pas s’il a réussi à imposer ses couleurs…

Par Dolorès Lamarre,
www.institutdlplus.com

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