DOSSIER Le sucre caché : la maladie du siècle et par quoi le remplacer - Cité Boomers

DOSSIER Le sucre caché : la maladie du siècle et par quoi le remplacer

Est ce que le sucre est votre meilleur ami ou est-il en train de creuser votre tombe?

 Le sucre est le sujet de l’heure et on lui met plein de maladies sur le dos. Avec raison, car plusieurs recherches démontrent qu’il y a du sucre dans tout et partout, même dans des aliments qu’on ne soupçonnait même pas d’être sucré. Nos ancêtres chasseurs ne consommaient pas plus de 15 grammes de sucre par jour (soit 3 carrés de sucre) qui en fait provenaient de fruits, de légumes et de racines…des sources naturelles ! En 1700, une personne consommait environ 4 livres de sucre par année, en 1800,18 livres, en 1900, 90 livres. Puis est arrivé le sucre blanc avec la fin de la deuxième guerre mondiale avec pour résultat en 2009, 180 lb par année et en 2015, 93 grammes par jour. Faites le calcul !!!

Depuis, on nous bourre de sucre depuis l’enfance : les aliments pour bébés, les céréales, les bonbons, les biscuits, les boissons gazeuses, le pain blanc, etc. À ma grande surprise, il y en a même dans le sel de table commercial. Aujourd’hui, on consomme beaucoup trop de sucre raffiné et 65% du sucre qu’on consomme se cache un peu partout dans divers aliments. En voici quelques exemples :
. La plupart des conserves
. Les aliments en sachets
. Les vinaigrettes commerciales
. Les marinades
. Certains jus, ou plutôt les boissons et punchs
. La bière
. Le vin
. Les céréales commerciales
. Les charcuteries
. Le Jell-O
. La crème glacée, les sorbets et le yogourt glacé
. Le yogourt aux fruits
. La gomme à mâcher
. Les cerises au marasquin
. Les gelées et les confitures
. La margarine
. La sauce barbecue, le ketchup
. Les pommes de terre instantanées
. Les mets chinois
. Les soupes
. Les condiments
. Les sauces
. Le sel de table…hé oui, lisez les étiquettes !

MÉFAITS DU SUCRE SUR L’ORGANISME
Le sucre détruit les enzymes digestives dans la bouche (ainsi que les enzymes qui protègent l’émail des dents et les gencives, ce qui augmente la possibilité de caries), ainsi que les enzymes dans l’estomac, le petit intestin, le pancréas et le foie. Il empêche la production d’acide chlorhydrique dans l’estomac. Le manque d’enzymes et d’acide chlorhydrique perturbe le processus de digestion : si on manque d’enzymes, les aliments ne sont pas bien broyés, le corps ne peut pas bien assimiler et utiliser les éléments nutritifs. On souffre alors de carences. De plus, tout ce qui n’est pas utilisé est accumulé et congestionne l’organisme. Le corps ne peut pas non plus bien éliminer les déchets, car les cellules ont besoin d’éléments nutritifs pour bien effectuer leur travail d’élimination. Alors, les toxines s’accumulent et c’est le début de l’intoxication. Le sucre est acidifiant. Il brûle les vitamines B et C ainsi que les minéraux comme le calcium, le magnésium et le sodium organique.

L’alimentation moyenne des gens, en général, contient cent fois plus de sucre que celle de nos grands-parents. Quinze minutes après avoir mangé cent grammes de sucre raffiné, les pulsations cardiaques et la pression sanguine augmentent de 15%. De plus, le sucre exige un travail supplémentaire du foie et des reins pour le rendre moins nocif et l’éliminer. On remarque aussi une influence nettement négative sur le système immunitaire. Le système immunitaire est notre système de sécurité. Les cellules immunitaires sont nos soldats qui guettent et empêchent les intrus de pénétrer notre organisme et les attaquent pour en débarrasser le corps.

Le sucre, selon de récentes recherches, entrave la phagocytose. En d’autres termes, il réduit la capacité des cellules immunitaires à attaquer et tuer les intrus, à digérer et à neutraliser les organismes toxiques qui entrent dans le sang. Il affaiblit l’immunité du corps et serait la cause de tant de maladies infectieuses dans tous les segments de la population, particulièrement chez les enfants.

Voici un petit tableau révélateur, il s’inspire d’une expérience effectuée en laboratoire à l’université Lama Linda, en Californie :

En temps normal Une cellule immunitaire peut vaincre 14 bactéries
5 minutes après avoir mangé 6 c. à thé de sucre (un beigne avec glaçage ou une boisson gazeuse) Une cellule immunitaire peut vaincre 10 bactéries
5 minutes après avoir mangé 12 c. à thé de sucre (une pointe de tarte) Une cellule immunitaire peut vaincre 5,5 bactéries
5 minutes après avoir mangé 18 c. à thé se sucre (un lait au chocolat + 1 biscuit) Une cellule immunitaire peut vaincre 2 bactéries
5 minutes après avoir mangé 24 c. à thé se sucre (un banana split) Une cellule immunitaire peut vaincre 0,5 bactéries

 QUELQUES SYMPTÔMES OU MALAISES POUVANT ÊTRE RELIÉS AU SUCRE
– Syndrome métabolique :  haute pression, cholestérol, sucre sanguin élevé, prise de poids surtout autour de la taille
– Triglycérides élevé
– Foie gras
– Problème de poids
– Difficulté à perdre du poids
– Changement d’humeur soudain
– Acide urique élevé : douleur articulaire, goutte
– Toute forme d’inflammation
–  Diabète de type 2
–  Candida Albicans
–  Problème de peau
–  Hypoglycémie
– Les rages de sucre, de pain, d’alcool, de café, de sel
– La fatigue constante ou après le repas
– La faim constante
– Les tremblements surtout si on saute un repas
– Les maux de tête, Les palpitations
– La vision embrouillée
– Les sautes d’humeur
– L’irritabilité surtout si on ne mange pas
– La dépression, l’hyperactivité
– L’insomnie
– Le manque de concentration, perte de mémoire, de coordination
– La confusion, Les difficultés d’apprentissage
– La tête dans les nuages
– Les yeux sensibles à la lumière
– L’urine fréquente
– Le mal de dos
– Les crampes musculaires
– Les pensées suicidaires, La violence

LE SUCRE BLANC : LA POUDRE BLANCHE LÉGALE QUI REND ACCRO
Le sucre blanc (saccharose) ou sucrose, est à 99 % du glucose et du fructose.  Il ne contient aucun minéral ou oligo-élément, aucune vitamine, il devrait être consommé le moins souvent possible. Il provient de la canne à sucre et de la betterave à sucre (25 %). Le résultat final est toutefois le même : du sucre blanc. Le sucre blanc agit un peu comme une drogue ; il rend accro. Il est donc très difficile de se contrôler devant des aliments sucrés. Normalement, on mange pour refaire nos réserves d’éléments nutritifs. Le sucre blanc n’a aucune valeur nutritive ; il mène donc à la dénutrition plutôt qu’à la nutrition. Bien sûr, nous avons besoin de sucre (glucose), car il est un carburant, à la base de l’alimentation. Mais ce dont le corps a besoin, c’est de sucre naturel, comme le glucose contenu dans les végétaux et qui est directement assimilable par le corps. Les végétaux, dont les légumineuses, ainsi que les grains, les fruits et les légumes contiennent entre 60 % et 90 % de sucre naturel. Ce sucre entre dans le sang progressivement sans causer de hausse rapide de glycémie.

Quand nous consommons des aliments contenant du sucre blanc, cela entraîne une montée rapide d’insuline puis une descente de sucre dans le sang, créant un phénomène de montagnes russes. Notre humeur, notre appétit et notre énergie s’en trouvent affectés et suivent le mouvement de la montée et de la descente. Les jus, les boissons gazeuses, les gâteaux, les bonbons, les pâtisseries, la cassonade, la confiture, la mélasse, le sirop de maïs et les aliments raffinés comme le riz blanc, la farine blanche et les pâtes blanches ne rassasient pas ; au contraire, ils donnent envie d’en manger encore et encore. C’est pour ça qu’on les appelle les aliments affameurs. Immédiatement après les avoir consommés, on a une hausse d’énergie, car le taux de sucre dans le sang augmente. Mais vu que ces aliments ne contiennent ni fibres, ni protéines, ni éléments nutritifs importants, le taux de sucre sanguin redescend rapidement. Lorsque le taux de sucre descend, on ressent bientôt la fatigue et la faim, ce qui nous donne le goût de manger encore ces aliments pour rester éveillé et se sentir repu. Et le cercle vicieux recommence. Une importante consommation de sucre est synonyme de faim qui tenaille, incitant à consommer davantage d’aliments sucrés.

CONSÉQUENCES DE LA FACE CACHÉE DU SUCRE :
-L’hyperinsulinémie
Une hausse de sucre sanguin crée automatiquement une montée d’insuline ou une hyperinsulinémie. Le rôle de l’insuline est de ramener le taux de sucre sanguin à la normale. Lorsqu’il y a hyperinsulinémie, le taux de sucre sanguin descend trop et envoie un signal de fausse faim. À la longue, l’hyperinsulinémie épuise le pancréas et peut mener vers le diabète ou la résistance à l’insuline. Le corps peut longtemps résister à l’insuline sans développer le diabète, mais d’autres maladies inflammatoires peuvent apparaître.

-La résistance à l’insuline (ri)
La résistance à l’insuline apparaît lorsque l’insuline ne réussit plus à faire baisser le sucre sanguin. Ainsi, le taux de sucre sanguin reste élevé et le corps se retrouve dans un état de pré-diabète. Dans le cas du diabète, le pancréas ne sécrète plus assez d’insuline. Dans le cas de la RI, les mécanismes du pancréas fonctionnent, sauf que le taux de sucre sanguin reste élevé. Un taux de sucre sanguin élevé peut provoquer de l’inflammation, un tour de taille qui épaissit, de la graisse abdominale, un foie gras et diverses maladies modernes, tels problèmes cardiaques, problèmes de pression, cholestérol, diabète, maladie inflammatoire et cancer.

Bonne nouvelle : si nous apportons des modifications dans notre alimentation, notamment en mangeant moins de sucre et si nous perdons du gras, surtout du gras abdominal, l’insuline se replacera.

LES SYNONYMES DU SUCRE : LES ÉDULCORANTS, DES FAUX SUCRES !
Le sucre emprunte fréquemment divers noms sur le tableau nutritionnel des aliments : glucose, fructose, glucose-fructose, sirop de maïs riche en fructose, dextrose, maltose, galactose, cassonade, extrait de jus de canne, sirop de canne, sucre inverti, mélasse, etc. L’industrie alimentaire masque souvent le sucre contenu dans les aliments en utilisant ces termes, souvent inconnus du public. Soyez vigilant !

Pour une santé optimale, il est préférable de préconiser l’alimentation la plus naturelle possible. Des études démontrent que des faux sucres tels l’aspartame et le sucralose peuvent stimuler l’appétit. L’aspartame est un édulcorant artificiel qui présente un pouvoir sucrant d’environ 180 fois supérieur à celui du saccharose (sucre blanc). Le sucralose est également un édulcorant artificiel intense. Il possède un pouvoir sucrant 600 fois plus élevé que le sucre blanc. Un individu qui consomme une boisson gazeuse diète ressent davantage la sensation de faim, une fois le produit avalé. Le cerveau est trompé, car il perçoit un goût de sucre, alors que le corps n’ingère pas de sucre. L’individu cherche de plus en plus à manger des aliments renfermant du sucre pour se contenter, car le cerveau attend sa ration. Le but ne consiste pas à changer un sucre pour un autre, mais bien apprendre à se désensibiliser du sucre, car cette drogue occasionne un surplus de poids et cause la plupart des maladies.

Bonne nouvelle : Le principe de désensibilisation au sucre est simple. Il suffit de diminuer progressivement sa consommation de sucre afin d’en avoir naturellement de moins en moins envie. Il est essentiel de consommer suffisamment de protéines dans la journée afin d’avoir le moins de rages de sucre possible. Il faut 21 jours pour s’habituer à manger moins de sucre.

 Le glucose-fructose :  à bannir
Le glucose-fructose vient du sirop de maïs qui est souvent modifié génétiquement. Vers les années 1970, il y a eu une trop grande production de maïs aux États-Unis. L’industrie alimentaire a donc décidé de faire du sucre avec le maïs, ce qui a donné le sirop de maïs riche en fructose ou le glucose-fructose. Le fructose étant 20% plus sucré que le sucre blanc, il en faut donc moins pour sucrer et il coûte moins cher que le sucre blanc. Les compagnies alimentaires, surtout celles qui produisent des boissons gazeuses, ont donc opté pour ce sucrant.  Maintenant il se retrouve dans environ 75% des produits que l’on trouve à l’épicerie. Or, on s’est aperçu que le fructose n’est pas absorbé de la même façon que le glucose. Contrairement au glucose, il ne va pas directement dans le sang, mais il doit être transformé par le foie. Les molécules de glucose-fructose ne sont pas liées ensemble comme le sont celles du sucre blanc. Le corps n’a pas besoin de séparer le lien donc le fructose est libre et absorbé immédiatement créant une douche froide sur le foie. Le glucose provoque une montée d’insuline par le pancréas. Le fructose n’a pas besoin d’insuline il va directement dans le foie, comme le foie ne reconnaît pas cette molécule il la rejette dans le sang sous forme de gras appelé triglycéride. Sa consommation provoque l’impression que nous n’avons pas mangé de sucre. On ressent donc moins la satiété, ce qui fait qu’on veut manger davantage. Je ne veux pas dire qu’on ne doit jamais manger de sucre, mais lorsque c’est le sucre qui nous mène, qu’on a souvent des rages de sucre et que notre santé en subit les conséquences, c’est fatigant et c’est signe d’un déséquilibre.

LES BONS SUCRES :  FRUCTOSE DANS LES FRUITS, À CONSOMMER
Avec le fructose, qui est naturellement présent dans les fruits, ce n’est pas le même phénomène qui se passe. Quand le fructose est consommé dans un aliment entier, il est accompagné d’eau, de fibres, de minéraux et de phytonutriments qui contribuent à métaboliser le sucre contenu dans le fruit. Cependant, une trop grande consommation de fructose de fruits peut causer des gaz et des maux de ventre, surtout chez ceux qui ont un côlon irritable. On suggère alors de consommer les fruits broyés et de prendre ceux qui ont un taux de fructose plus bas.

Voici quelques exemples de fructose dans les fruits
Ananas :   1 tranche de 3.5 pouces. 4 grammes
Banane :  1 moyenne, 7.1 grammes
Bleuet :   1 tasse 7.4 grammes
Cantaloup :  1/8, 2.8 grammes
Citron :  1 moyen, 0,6 grammes
Datte style Deglet Noor : 1, 2.6 grammes
Fraise :  1 tasse, 3.8 grammes
Framboise :  1 tasse, 3.0 grammes
Lime :  1 moyenne, o gramme
Mangue :  1/2, 16.2 grammes
Orange : 1 moyenne, 6.1 grammes
Pamplemousse : 1/2, 4,3 grammes
Papaye :  1/2 moyen, 6.3 grammes
Poire :  1 moyenne, 11.3 grammes
Pomme :  1 moyenne, 6 grammes
Raisins :  1/4 tasse, 12.3 grammes

Pour ce qui est des légumes, le taux de fructose se situe entre .2 pour la salade et 2. pour le navet.  Ce qui est relativement bas, donc à consommer en quantité.

 PAR QUOI REMPLACER LE SUCRE BLANC : DES SOLUTIONS DE RECHANGE
-Les fruits séchés représentent sans aucun doute le meilleur choix. Il est facile de remplacer le sucre ou la cassonade dans les recettes par une quantité égale de purée de fruits séchés (dattes, raisins secs, abricots séchés, pruneaux secs, etc.). Il suffit de déposer les fruits séchés dans un plat, de les couvrir d’eau et de les laisser amollir toute une nuit. Le lendemain, on passe les fruits au mélangeur pour en faire une purée. C’est aussi sucré que du sucre, sauf que la purée a une valeur nutritive et des fibres qui s’assureront que le taux de sucre sanguin ne sera jamais à la hausse comme c’est le cas avec le sucre blanc.
Le sirop d’érable constitue également une bonne solution de rechange au sucre blanc. Produit à partir d’eau d’érable bouillie au début du printemps, il est surtout fabriqué au Québec et en Ontario. Le sirop d’érable contient 68 % de sucre naturel, des minéraux tels que le potassium, le calcium, le magnésium, le fer et le zinc, et plusieurs vitamines.
Le sucanat peut également remplacer le sucre blanc. Le sucanat est un sucre complet produit par l’évaporation de jus de canne à sucre biologique ; c’est comme manger de la canne à sucre pure, qui est un aliment complet en soi. Le sucanat contient les vitamines et les minéraux nécessaires à sa digestion et à son assimilation, et il ne semble pas affaiblir l’organisme.
Le miel cru non pasteurisé représente une bonne option. Le miel est le plus ancien sucre et il est fabriqué par les abeilles à partir du nectar des fleurs. Il est important de le consommer cru, non pasteurisé et non filtré pour bénéficier de ses bienfaits et pour qu’il ne fermente pas dans l’estomac.
-Le Xylitol est un sucre dérivé du bouleau. Notre corps produit environ 15 g de xylitol par jour. Il contient 40 % moins de calories que le sucre blanc raffiné et a un index glycémique de
L’érythritol est un édulcorant naturel que l’on trouve dans les fruits, les aliments fermentés ou la sauce au soja. Il possède un pouvoir sucrant inférieur au sucre (de 60-80 % ) et contient moins de calories que le sucre de table (0,2 kcal/g contre 4 pour le sucre), et ne cause pas de caries.
Le stévia est une plante de la même famille que le tournesol et la marguerite. L’extrait de sa feuille a une saveur sucrée, mais ne contient pas de sucre et n’apporte pas de calories. Un gramme de stévia est aussi sucrant que 200 à 300 g de sucre blanc.

ENFIN, POURQUOI SOMMES-NOUS ACCRO AU SUCRE ? LA DOPAMINE
Même si nous savons tout cela, pourquoi avons-nous de difficulté à nous contrôler? La publicité à la télé, à la radio, dans les journaux et médias sociaux sont de grands influenceurs. Mais ce n’est pas l’unique raison. La dopamine est une hormone sécrétée par le cerveau lorsque nous mangeons du sucre et nous procure une sensation de bien-être qui fait que nous nous sentons bien. On l’appelle d’ailleurs l’hormone de plaisir ! Ce qui fait que lorsque son effet diminue, le cerveau nous envoie un message de manger quelque chose de sucré de nouveau.  C’est le même effet que la drogue de type cocaine ou morphine. On peut retrouver un effet similaire avec les produits laitiers. Ils contiennent des composantes identiques à la morphine, la casomorphine, lorsque la protéine du lait, la caséine, est dégradée par les enzymes. C’est pour cette même raison que nous avons de la difficulté à couper les produits laitiers, entre autres le fromage. Et c’est pour cette raison qu’on classifie le sucre comme étant une drogue….légale et très lucrative !

Par Joelle Jay, Naturopathe
joellejaynd@gmail.com

 

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