A boire , aubergiste
- André Maccabée
- 3 oct.
- 1 min de lecture

Disons- le tout de suite, l’abus d’alcool et trop en boire nuit â votre santé. l’OMS vient de sortir une nouvelle sur cela. Ce livre en parle, un peu de tout, santé, partage, et notre consommation depuis la colonie, le cidre, le vin, l'eau-de-vie, le champagne, l'absinthe et même la «bagosse» sont au nombre des boissons qui ont arrosé le gosier des Québécoises et Québécois au cours des quatre derniers siècles.
D'où viennent ces liquides enivrants? Comment ces boissons ont-elles été adoptées, puis adaptées aux réalités d'ici? Cette fascinante histoire s'intéresse non seulement aux boissons elles-mêmes, mais aussi aux circonstances de leur consommation.
Voici des chapitres que nous aimons bien : Quand le cidre nous chante la pomme. Caribou, vin de pissenlit et autres «p’tits blancs»: les alcools maison .Bière et taverne, des bastions masculins. Faire du vin au Québec: du «gros rouge qui tache» à l’indication géographique protégée. L’eau-de-vie, de la traite à la prohibition, c’est ce genre d’alcool qui peut causer bien des maladies tout comme la prochaine qui est l’absinthe, une boisson vénérée et controversée. Et finalement le roi des vins: le champagne.

Pour en savoir plus sur cela, un dossier historique , le curé était parfois présent pour vider la place.
Un bon petit boire, oups livre sur le sujet, de la prof retraité Catherine Ferland aux éditions du Septentrion. Nous l’avons lus presque d’une traite, sans modération ce qu’il ne faut pas faire avec l’alcool. Dans la collection aujourd'hui l'Histoire.
André Maccabée et Pierre Murphy






























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