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Histoire du vin que buvaient les québécois

  • André Maccabée
  • il y a 2 jours
  • 2 min de lecture

 Les années 70 , avant les vignes et les vins cultivés ici c'étaient les années du Québerac, dont nul ne peut dire ce qu’il y avait dans les  cruches comme celles de la photo. Sinon le fameux mousseux  "Baby Duck", un mélange d'eau, de sucre et de vins rouges et blancs sucrés,  souvent de qualité inférieure était de bien des célébrations .


Voici un texte qui parle des vins que nos élites buvaient 


L’examen de la presse de l’époque offre aussi un portait assez fidèle des pratiques de consommation de vin pendant la deuxième moitié du 19e siècle. Le vin était alors une boisson que consommaient surtout les membres de l’élite. Cette dernière avait une préférence marquée pour les vins français, surtout le Bordeaux. Le vin blanc de la région du Rhin avait aussi la cote.

L’inventaire de la cave de George-Étienne Cartier, effectué après sa mort, a permis de découvrir à quel point le politicien était un grand amoureux du vin : dans sa résidence d’Ottawa, on a trouvé 240 bouteilles de Bordeaux, 4 caisses de champagne et 10 caisses d’autres vins. Dans sa maison de campagne, un baril de Sherry, un baril de Bordeaux, quatre caisses de champagne et une caisse de brandy ont été trouvés.

ITHQ


Notre collègue de l’ITHQ a fait un petit vidéo, mais il ne semble pas fonctionner. Voici le résumé et à vous de voir si cela fonctionne chez vous. Créer un vin québécois de qualité était un objectif poursuivi par plusieurs, mais qui n’a été atteint qu’à la fin du 20e siècle. Explorez les multiples tentatives à travers l’histoire avec le professeur en gestion de la restauration à l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec (ITHQ) François Pageau.


Lano d' or , nouveau vignoble en dégustation et son rosé


Notre équipe en reparlera, nous en avons 4 produits en vente sur les tablettes de la SAQ,  voici leur rosé québécois pour le 24 juin, c'est un sommelier et sa famille qui en sont les nouveaux propriétaires.

Ce rosé le premier dans l'ordre habituel, le Nao a séduit tout notre monde, mono-cépage frontenac gris. La robe est estivale, rose pâle. Le nez typique des rosés, sur les fiches, on a lu framboises, cerises, et un fruit tropical . La bouche franche, étoffée, acidulée, en reprises des arômes, parfait pour le patio.

On l’a aussi dégusté comme en Provence avec une glace, vu la canicule. Le taux d’alcool qui est de 12% en fait un de nos favoris de 2025 pour le moment. Il est au monopole pour la promo de la fête nationale, les autres vins seront dans nos chroniques sou peu. Sous la barre des 20$, une belle découverte  

Idéalement passez les voir, https://www.vignoblelanodor.ca/


André Maccabée

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