Astérix en Lusitanie !
- André Maccabée
- il y a 6 heures
- 2 min de lecture

En 2025 , c’est le Portugal le pays vedette , dans le 41e album qui est disponible depuis hier. Nous en avons parcouru un avec un verre de vin blanc portugais . Disons que vu que cela se déroule au Portugal nous avions un préjugé favorable. C’est gastronomique et une invitation au voyage .Cela nous parle de la fusion cuisine romaine et portugaise .
Par un beau matin de printemps, un inconnu débarque au village. Il arrive de Lusitanie, cette terre de soleil à l’ouest de l’Hispanie qui se trouve également sous la férule de Rome. Cet ancien esclave croisé dans le Domaine des dieux est venu demander de l’aide à nos irréductibles Gaulois car il connaît les effets puissants de la potion magique.
Voici en partie le dossier de presse, et nos commentaires : Pour eux comme pour nous, le voyage est l’occasion de goûter aux spécialités locales : chez les Bretons, ils se sont laissé tenter par la potion magique au thé ; en Corse, ils ont goûté au cochon sauvage ; et en Helvétie, Obélix s’est pris de passion pour le fromage fondu. Avec les voyages, ils ont appris aussi de nouvelles coutumes, comme la pétanque à Massilia, ou encore la danse avec les nomades en Hispanie. C’est non loin de là que se déroulera leur 25e voyage. L’occasion de découvrir un nouveau peuple...
Dans tout album de voyage d’Astérix, on peut s’attendre à un cocktail unique d’aventure, d’humour et de clins d’œil culturels ! Chaque peuple croisé est caricaturé avec tendresse, aussi bien via les mots que le dessin : accent, gastronomie, habitudes, tout y passe ! Les auteurs s’amusent à jouer avec les spécificités propres à chaque pays, mais toujours avec bienveillance.
À quoi peut-on s’attendre dans ce nouvel album ? Essayez d’imaginer un sentiment mêlant la nostalgie, un brin de tristesse, mais aussi une pointe de poésie, d’élégance et d’espérance. Ajoutez-y un soupçon de fado, une pincée de coucher de soleil sur l’Atlantique : vous obtiendrez la fameuse saudade, un mot typiquement portugais et intraduisible. Il faut le vivre pour le comprendre. Justement, les Portugais en ont fait un art de vivre : on peut être mélancolique, mais toujours avec le sourire, et avec l’espoir que demain sera encore plus beau à regretter.
Deux produits typiques sont au menu, le garum et la morue . Disons que la morue prend beaucoup de place. Il y a des moments carrément loufoques comme la bataille avec les patas de natal . Et comme nous dit César In Vino Veritas .
Mais nous n’en dirons pas plus sinon qu’il faut acheter , lire et donner aux gens de bonne qualité de 10 ans â 105 ans .
Du duo Didier Conrad , et Fabcaro . Nos libraires en ont des palettes pour vous.
André Maccabée














