Les médias sont partout dans nos vies, sociaux ou réels. Les journalistes sont dans le réel, dans la recherche des faits et de la vérité, parfois au péril de leurs vies. Rien à voir avec les médias sociaux qui racontent souvent n’importe quoi par n’importe qui et qui s’inventent des des vies. Dans notre équipe il y a des journalistes de métier retraités , la profession ne l’a pas eu facile depuis 2 décennies.
Pendant 4 décennies, en tant que prof d’histoire au collège, je cherchais toujours la vérité pour l’expliquer à mes étudiants aux yeux du présent. Dns mon cursus universitaire, il y avait des cours en journalisme. Je voulais donner mon nom comme recherchiste dans une émission sur Radio Canada, finalement j’ai travaillé sur une série historique à Télé-Québec.
Un livre sur la profession et les dangers sont présents
Un magicien est bon quand il réussit à fasciner son public sans que celui-ci ne parvienne à comprendre comment il a réussi son truc ; c’est tout le contraire du journaliste qui, lui, doit travailler avec la vérité toute nue enfin devrait . C’est, contrairement au magicien, quand son public comprend bien tous les tenants et aboutissants de son rôle que le journaliste parvient à bien effectuer son travail. Un e prof journaliste nous résume la profession, avec les médias sociaux qui sont plein de faussetés notre rôle est double, rétablir les faits et dire la vérité peu importe le prix, Chaque année des journalistes meurent au travail pour nous dire les faits. Selon l’ONU, quatre-vingt-six journalistes ont été tués dans le monde en 2022, un bilan en hausse de 50% par rapport à l’année précédente, selon de nouvelles données de l’UNESCO, qui souligne les dangers que continuent de courir les journalistes dans l’exercice de leur profession, particulièrement en dehors des zones de guerre. L’augmentation du nombre de meurtres durant l’année 2022 marque un renversement de la tendance positive observée ces dernières années pour la sécurité des journalistes : de 99 meurtres commis en 2018, le bilan était tombé à une moyenne de 58 meurtres par an de 2019 à 2021, selon l’Observatoire de l’UNESCO des journalistes tués. La pandémie explique tout cela, les journalistes demeuraient chez eux.
Pour dire la vérité parfois, fait que des gens ne nous aiment pas. Dans nos critiques de vins, nous sommes tout le temps 6 à 8 et je fais le résumé. Un directeur d’agence a appelé nos bureaux pour dire que nous n’aurons plus de vins de sa part vu une chronique défavorable, un seul hic il ne nous en a jamais envoyé en plus il était confus. Beaucoup de gens qui sont dans les médias ne le font que pour assister à des spectacles ou manger au resto sans frais, ils ne font pas longtemps. En Europe les influenceurs n’ont plus bonne presse, si on peut dire, plus personne ne les lit.
Tout ce dont nous vous parlons a été lu, dégusté ou expérimenté nous ne sommes pas des copistes, du copier coller. Des entreprises veulent nous payer qu’on parle d’eux en bien, sans expérimenter ou déguster, cela n’est pas dans notre politique éditoriale, nous ne devons rien à personne. Aucune somme d’argent ne nous est remis pour nos chroniques, nous avons la chance de ne pas en avoir besoin, certains n’ont pas le choix comme des influenceurs qui tentent d’en vivre à tous prix. Ils sont prêt a dire n’importe quoi, prendre n’importe quoi en photo et ils n’ont aucune expertise no compétence sur le sujet. Nous avons des gens dans tous les domaines, ils sont tous retraités, nous écrivons pour le plaisir de partager nos découvertes.
Dans cet essai consacré au métier qui la passionne, Marie-Ève Martel nous fait pénétrer dans les coulisses du journalisme dans l’optique de faire de nous de meilleurs consommateurs d’information.
Chez Somme toute : https://www.leslibraires.ca/livres/pas-de-lapin-dans-le-chapeau-marie-eve-martel-9782897944209.html
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