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Irena sur écrans et en romans

Il y a un nouveau film sur nos écrans , avec un nom qui a fait couler beaucoup d’encre , finalement elles sont deux . Une est aussi dans un nouveau roman ici que nous venons de terminer avec notre comité de lecture. Le prénom est Irena, les deux sauvent des vies en temps de guerre.

Nous débutons par le livre : Les orphelins de Varsovie

C’est tiré de la véritable histoire d’Irena Sendler, infirmière et travailleuse sociale polonaise qui sauva des milliers d’enfants juifs de la déportation, un roman sur la force et l’amour qui permettent de survivre aux tragédies de l’histoire.

Varsovie est en Pologne. C’est le lien du livre et des deux films. On a changé le prénom ici. Printemps 1942.  Emilia, 13 ans, dont les parents ont été tués par des Allemands, vit avec sa famille adoptive à Varsovie. Alors qu’elle passe ses journées enfermée chez elle, elle découvre que sa voisine Sara, (Irena) une infirmière, évacue secrètement des enfants juifs du ghetto. Emilia insiste pour l’aider. Là-bas, elle rencontre Roman Gorka et sa famille. Le récit est sensiblement le même, il n’y a que le nombre d’enfants qui varie.

Au début notre comité de lecture pensait que c’était l’Histoire du film de Sophie, mais non, le film a été fait et suit dans cette chronique. Un livre accrocheur, qui nous parle de Varsovie qui ne l’a pas eu facile, cela  parle de résistance et de courage et de détermination. Un excellent roman selon notre comité pour lire au soleil car finalement il y a de l’espoir.

Le livre est une traduction d’un best seller américain. Il y a plusieurs versions dans plusieurs langues et même en romans graphiques .  Kelly Rimmer. Vaut mieux le commander avec la maison d’éditions :  https://www.lesediteursreunis.com/shop/les-orphelins-de-varsovie/

Le film du roman: Irena Sendler 

Le film est disponible sur le web, car il a justement 15 ans cette année, le titre original est Le courage d’Irena Sendler, elle travaillait aux affaire sociales, et était dans la résistance non-armée si on peut dire. Elle aurait sauvé 2500 enfants, en les extirpant du ghetto . Faut le faire , c’est dans le livre.  Cela dure 95 minutes.

Le film québécois avec Sophie: La promesse d’irena 

En partant nous avons un préjugé favorable, car cela est de la réalisatrice québécoise Louise Archambault , il a été fait en anglais d’abord. Une héroïne méconnue , enfin de moins en moins car cela a même fait du théâtre, de la Seconde Guerre mondiale, toujours dans Varsovie, qui a été le décor réel du film pendant quelques jours. L’autre raison c’est de retrouver Sophie Nélisse dans un film qui a des liens avec celui qui nous l’a fait connaître dans le monde , la voleuse de livres, cela fait une décennie. Et finalement la musique de Mme Streliski le menu est complet.

Cette fois c’est le début de la guerre, 1939. L’Allemagne de Hitler vient d’envahir la Pologne et les nazis commencent à persécuter les Juifs partout à travers la ville. Bouleversée par cette violence, après avoir notamment assisté à l’exécution d’un bébé en pleine rue, Irena (Sophie Nélisse) élaborera un plan audacieux pour sauver une douzaine de travailleurs juifs, en les cachant dans le sous-sol de la maison de l’officier allemand qui l’emploie (Dougray Scott).

Un des films du printemps sinon de l’année selon notre comité, cela joue un peu partout dans la province. 120 minutes., Co-production Canada-Pologne, Mme Archambault a fait des miracles avec un budget réduit selon nous.

La guerre se déroulait souvent en dehors des champs de bataille. 

Collaboration spéciale: Nos comités lecture et cinéma.    

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